2 samedis consécutifs : samedi 21 mars et samedi 28 mars 2026
Contenu
Nous apprendrons à reconnaître nos limites, inconditionnelles et inaliénables, à les poser et les défendre de manière verbale et non verbale.
Avec quelques apports juridiques et théoriques, nous abordons tout ce qui est possible de faire face à des agressions évidentes, plus subtiles, qu’elles surviennent dans l’espace public, privé ou professionnel. La défense physique sera également au rendez-vous, à travers des techniques simples et efficaces. Tout cela dans une ambiance coopérative et chaleureuse.
Enfin, nous aborderons l’autodéfense mentale et émotionnelle car se défendre ne dépend pas d’une force physique et de techniques exceptionnelles, cela dépend surtout de comment nous nous sentons légitimes et autorisé·e·s à nous défendre.
Ce stage est un espace dit « tout public » et propose des activités rythmées. Il est adaptable et ouvert à des personnes aux conditions physiques très variées. Ce moment n’est pas un cercle de paroles bien qu’il laisse la place à un partage d’expériences.
Animatrice
Après une formation juridique, Sophia a découvert l’autodéfense féministe il y a une dizaine d’années, rencontre importante qui lui a donné envie de participer à partager ces outils. Elle a mis en place le programme Enfants CAPables à Grenoble en 2014, puis s’est formée comme animatrice d’autodéfense féministe auprès de l’association Viol Secours de Genève pendant 2 ans. Elle complète sa formation de prévention des violences, sur les aspects sociaux, psychologiques et juridiques (planning familial, collectif feministe contre le viol…), et avec des outils artistiques, sportifs et d’éducation populaire (danse, arts martiaux, théâtre de l’opprimé…). Elle intervient auprès d’enfants, d’adolescent·es et d’adultes. Elle aime faire des rencontres entre les gens et entre les disciplines, créer et tester des formats adaptés à différents publics, dans le but de développer confiance, solidarité et pouvoir d’agir. Il lui tient à cœur de lutter contre toutes formes de discriminations.
Noter que la présence aux deux journées entières est indispensable